Vodka La vodka est une boisson alcoolisée incolore d'origine polonaise. Entre 4 000 à 5 000 marques de vodka sont présentes sur le marché qui a le vent en poupe. La vodka se retrouve surtout dans la composition de nombreux cocktails.
Étymologie Le mot vodka vient du polonais ou du russe ??? wódka « petite eau », qui sont les diminutifs de ?? et woda, qui signifient « eau ».
Histoire Elle y fut distillée dès le XIVe siècle, mais un siècle plus tard, le prince Ivan III (1462-1505) interdit toute production de boissons fortement alcoolisées. Le tsar Ivan IV (1533-1584), dit Ivan le Terrible, construisit une première taverne à Moscou et instaura le principe des distilleries et lieux de distribution d'État. Il avait donc le monopole sur la production et la vente de vodka, ce qui a permis à l'État d'engranger de substantiels profits. Durant cette période, la vodka joua un rôle très important dans la culture et l'économie russes.
En 1894, l'Empereur Alexandre III, décrète que la norme du titre d'alcool de la vodka russe est de 40°. Il s'appuie sur les travaux du chimiste Dmitri Mendeleïev qui avait précédemment montré que la meilleure vodka titrait à 38°, mais les taxes de l'époque étant calculées sur le taux d'alcool, c'est le titre de 40° qui fut conservé pour faciliter la tâche des services fiscaux.
Aujourd'hui, on produit de la vodka dans de nombreux pays, notamment en Russie (Russky Standart, Ladoga), en Ukraine (Nemiroff), en Pologne (Chopin, Wyborowa, Zytnia, Pan Tadeusz, Krakus, Jan III Sobieski, Belvedere), en Suède (Absolut) et en Finlande (Finlandia). On en produit même en France (Vertical, Grey Goose, Puhre). Certaines, comme la Zubrówka polonaise ou Biélorusse sont aromatisées à l'herbe aux bisons. D'autres parfums existent : poivre, citron, etc... Sources Wikipedia
Actualité Source: Reuters (SAN FRANCISCO) Dec 15, 2006
Russian vodka maker buys Vodka.com domain for $3 million. ... Vodka.com's price tag is among the highest ever revealed for a generic Web domain. ... The billionaire Russian entrepreneur behind Russia's biggest vodka maker has paid $3 million (1.5 million pounds) to acquire the vodka.com domain, part of a bid to expand into the U.S. market, a broker said on Thursday. Sedo.com, the Web domain brokering unit that is part of Germany's United Internet AG, said it had acted as the sales agent in the deal. Conglomerate Russian Standard Co., controlled by Roustam Tariko, paid $3 million to an undisclosed seller in a deal completed December 4, according to a Sedo.com spokesman. A New York-based spokeswoman for Russian Standard confirmed the $3 million price tag.
Russian Standard entered the U.S. market in September 2005 with its Imperia brand. The recipe for Imperia is said to have been discovered by 19th century Russian scientist Dimitri Mendeleev, inventor of chemistry's periodic table of elements. Russian Standard Co. controls not only two-thirds of the sales of premium vodka in Russia, but also owns Russian Standard Bank, the country's largest private bank.
Vodka.com's price tag is among the highest ever revealed for a generic Web domain. In May, diamond.com reportedly sold for $7.5 million to jewellery retailer Ice.com. Business.com sold for $7.5 million in 1999. Earlier this year, a source told Reuters that Sex.com had sold for around $12 million to a Boston-based company called Escom LLC, although the exact figure has never been disclosed.
Actualité Source: Le Figaro Jean-Francois Arnaud, le 5/12/2006
Le nouveau tsar de la vodka russe a des ambitions planétaires. Roustam Tariko, milliardaire russe, lance son alcool de luxe sur le marché français.
À PREMIÈRE VUE, Roustam Tariko n'a rien de l'oligarque russe tel qu'on se l'imagine. Contrairement à ses homologues qui achètent des clubs de foot, des journaux ou s'illustrent dans le commerce peu licite des armes, ce jeune milliardaire (44 ans pour une fortune estimée à 2 milliards de dollars) cultive un look de play-boy à l'italienne, parle d'une voix douce et se fait remarquer partout où il passe par son tact et sa gentillesse. « Je viens d'un milieu simple », se plaît à rappeler ce Tatar d'origine, monté à Moscou en 1979 sans un sou en poche. Il possède aujourd'hui un conglomérat, Russian Standard, opérant dans la banque et la vodka. Doué d'un grand sens du commerce, il gagne d'abord sa vie en travaillant comme guide et interprète pour les touristes étrangers qu'il attend à la porte des grands hôtels soviétiques. Une activité qui lui permet de nouer des contacts stratégiques.
Chocolats et alcools Dès l'ouverture des frontières, il importe des biens de consommations qui font rêver les Russes : chocolats italiens (il est le représentant de Ferrero) et alcools de marques (Martini, Johnnie Walker et Bacardi). Il mise alors sur des marques premium, plus chères et plus rentables, et bénéficiant déjà d'une grande notoriété internationale, ce qui permet des économies dans les frais de communication. « J'ai voulu créer ma propre marque, capable de répondre aux attentes des Russes et susceptible de séduire un public international », raconte-t-il à l'occasion du lancement de sa vodka Imperia, en France. Au fil des ans, l'entrepreneur s'installe dans l'univers du luxe en organisant des soirées prestigieuses où la vodka est systématiquement associée au caviar, le tout servi à des brochettes de VIP, permettant articles et photos dans les magazines. Ce sont les armes conventionnelles du marketing des marques de luxe. Tariko a lancé ainsi sa vodka aux États-Unis l'année dernière, lors d'une soirée caviar-vodka-people, au pied de la statue de la Liberté. À chaque fois, il martèle son message : « Une bonne vodka est forcément russe ». Une façon de disqualifier ses grands concurrents dans l'un des business les plus rentables du monde : le suédois Absolut, les marques de Pernod Ricard (Stolichnaya, Wyborowa et Zubrowka), mais aussi les nouveaux venus tels que la marque française Grey Goose (groupe Bacardi). « Absolut est à vendre, et je ne ferais aucun commentaire sur Pernod Ricard avec qui je suis en procès aux États-Unis », dit-il. En effet, ses déclarations à répétition sur Stolichnaya, la marque de vodka russe du groupe français, qui selon lui ne serait pas fabriquée en Russie, ont fini par entamer la patience de Patrick Ricard. Du coup, les filiales françaises de Pernod Ricard ne devraient pas voir d'un très bon oeil l'arrivée de la marque Imperia sur leurs terres. Car Imperia va profiter des efforts de promotion du groupe français pour réveiller le marché prometteur de la vodka russe. La distribution des alcools étant avant tout une affaire de terrain et de vendeurs, il faudra malgré tout du temps à Imperia pour s'imposer.
Contact Vodka.fr
|
Russian Standard
Vin & Spirit
Pernod-Ricard
Bacardi
Belvedere |
Lire les commentaires textes
salut.j'aimré savoir coment en fabrik la vodka.en tout dedaill.slt